Être en bonne santé : voilà l’objectif des menus générés par l’application GoodSesame. Grâce à son outil de planification de repas équilibrés et responsables, elle concilie santé, écologie et éthique ! GoodSesame te propose des recettes gourmandes, équilibrées et adaptées à ton régime alimentaire !

Par quels moyens l’algorithme de GoodSesame choisit-il un ensemble de recettes ?

Comment ça marche ?

Accroche-toi, on va t’expliquer le cœur de notre savoir-faire… et nos petits secrets de fabrication. L’application GoodSesame fonctionne grâce à un algorithme permettant de résoudre des tâches en prenant en compte de nombreux éléments. Il repose sur la réunion de différentes composantes afin d’aboutir aux meilleures recettes tous critères confondus et être ainsi le plus optimal possible.

En gros : on prend en compte tous les critères santé, écologie et tes goûts personnels, on mouline le tout et on te génère un menu de la semaine.

Comment l’application GoodSesame s’inscrit-elle dans une démarche de santé ?

Dans un premier temps, on élimine les recettes qui sont incompatibles avec tes choix alimentaires, notamment avec tes préférences et allergies alimentaires. En effet, il n’est pas question de te proposer des recettes avec de la viande, si tu n’en manges pas !

Ensuite, l’algorithme va calculer le score global avec l’ensemble des composantes et te proposer des recettes qui obtiennent le meilleur score. Ainsi, si l’une des composantes est mauvaise, la recette ne te sera pas proposée !

Par ailleurs, le système de notation de l’algorithme recherche des similitudes entre les recettes et te propose ainsi de la diversité au sein de ton l’alimentation. On évite de manger la même chose toute la semaine !

Notre objectif est de te proposer la meilleure combinaison de recettes en fonction des préférences alimentaires que tu as précisées dans l’application.

Comment l’algorithme quantifie les bienfaits santé d’un ensemble de repas ?

C’est ce sur quoi repose la composante nutritionnelle du score global du menu généré. Afin d’estimer ce qu’est un régime alimentaire sain, l’algorithme nutritionnel se repose entre autres sur différents outils.

Crédit photo : Brooke Lark depuis Unsplash

Voici les études et programmes sur lesquels nous basons nos recommandations :

• Les critères du Programme National Nutrition Santé (PNNS), qui est un plan de santé visant à améliorer nos consommations alimentaires.
• Le Healthy Eating Index (HEI), c’est un indice d’alimentation permettant de mesurer la qualité de l’alimentation au sein de la population. Cet indice se base sur les recommandations de la Commission européenne.

Ces outils permettent à l’algorithme de calculer les composantes d’un régime alimentaire et d’émettre un score nutritionnel fiable.

Mais ne l’oublions pas, le but de l’algorithme est de quantifier les bons critères de santé et les moins bons afin de viser une alimentation optimale !

C’est pourquoi, le score nutritionnel obtenu est ensuite évalué par rapport aux données d’études qui s’intéressent à notre alimentation avec les risques de maladies chroniques.

Sur quelles preuves scientifiques se base l’algorithme de GoodSesame ?

Les études choisies se basent notamment sur des méthodes de calcul du risque de survenue d’événements, tels que des maladies métaboliques, cardio-vasculaires etc., au sein de groupes de personnes soumis à différents régimes alimentaires.

Une des études choisies a examiné l’association de la mortalité avec un indice à plusieurs facteurs de qualité de l’alimentation (1). Un total de 42 254 femmes, d’un âge moyen de 61 ans, ont rempli un questionnaire de fréquence alimentaire. Les résultats suggèrent qu’une consommation d’aliments, suivant les modèles de recommandations actuelles, est associée à une diminution du risque de mortalité chez les femmes.

Ainsi, nous pouvons faire le lien entre les études comparatives choisies et le score nutritionnel calculé par notre algorithme.

Ce qui nous permet d’affirmer qu’une personne ayant globalement un bon score nutritionnel GoodSesame est moins à risque qu’une autre ayant un moins bon score.

Ce constat est notamment observable pour les principales maladies métaboliques et cardiovasculaires (diabète, obésité et surpoids, hypertension, AVC). Mais également, pour certains cancers, comme ceux liés au système digestif (estomac, colon, foie, pancréas…).

En savoir plus sur GoodSesame pour bien manger et être en bonne santé

Pour découvrir comment fonctionnent les autres dimensions de l’algorithme de GoodSesame (environnement, prix, etc.) on t’invite à lire notre article : Comment bien manger ?

Pour télécharger l’application GoodSesame c’est par ici :

(1) Kant, A. K. (2000). A Prospective Study of Diet Quality and Mortality in Women. JAMA, 283(16), 2109. https://doi.org/10.1001/jama.283.16.2109

[Crédit photo de couverture : Ella Olsson depuis Unsplash ]